Vladimir Odoievski

La Cité sans nom

Odoievski couverture3

Textes traduits par P. Douhaire, Hellé, G. Leroy, Viktoriya et Patrice Lajoye

ISBN: 979-10-94441-00-8

224 p., 23€

Édition numérique: 3,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

Entre mysticisme et science-fiction, moralisme et exotisme, le prince Vladimir Odoievski n’a jamais su se fixer. Visionnaire, il invoque une sylphide lors d’une expérience d’alchimie, rencontre un architecte du XVIIIe siècle lors d’un périple en Italie, invente l’internet et les blogs ainsi qu’un système mondial de climatisation en se projetant en 4338, décrit par le menu l’actuelle crise financière qui aurait déjà ravagé le pays de Benthamie, et imagine ce qui arriverait si une comète s’écrasait sur la Terre. Vladimir Odoievski (1803-1869) est un des maîtres de la littérature russe. Il est pourtant peu connu, tandis que son oeuvre est d’une importance majeure par l’influence qu’elle a eue sur le fantastique et la littérature de son pays. La Cité sans nom regroupe l’intégralité des nouvelles d’Odoievski traduites au XIXe siècle, accompagnées de quelques textes inédits dont pour la première fois en français L’An 4338.

Pour commander ce livre, cliquez ici…

Ils en ont parlé:

« Il est difficile de ressortir l’un ou l’autre texte car chacun a mérite différent, mais on peut quand même citer La Cité sans nom qui donne son titre au recueil. »

David Claes, Galaxies (critique de la 1ère édition)

« Au final, Patrice Lajoye, qui traduit avec sa femme Viktoriya les textes inédits, réussit son pari: nous présenter un auteur d’importance dont peu pouvaient se targuer jusque-là de le connaître réellement, tant son rapport avec l’édition française fut épisodique. Auteur protéiforme, Vladimir Odoievski aborde ainsi avec un égal bonheur le fantastique et la science-fiction, et ceux qui en redemandent pourront toujours se mettre sous la dent quelques contes moraux ou exotiques, dont certains se révèlent savoureux. Un excellent ouvrage. »

Bruno Para, Bifrost (critique de la 1ère édition)

« A bien des égards, Vladimir Odoievski peut se comparer à Villiers de L’Isle-Adam, non seulement par ses origines aristocratiques et ses velléités progressistes, mais surtout par leurs oeuvres, axées avant tout sur le fantastique et les contes. »

Wagoo (critique de la 1ère édition)

« Voilà donc un recueil tout à fait passionnant, et on ne remerciera jamais assez Patrice Lajoye de nous avoir fait découvrir ce prince russe, inconnu en Occident, esprit novateur et brillant. »

Phénix Web (critique de la 1ère édition)

« En conclusion, je recommande cet ouvrage aux lecteurs fascinés par la littérature du XIXe siècle ainsi qu’aux curieux. De belles surprises se mêlent à des textes plus ordinaires, mais tous reflètent les mentalités d’une époque. Il serait regrettable que cette somme n’ait jamais vu le jour, mais elle ne s’adresse pas à tous les lecteurs de l’imaginaire, et cela il faut le savoir au préalable. »

Mythologica (critique de la 1ère édition)