Tous les articles par Patrice

Viktoriya et  Patrice Lajoye

Sadko et autres chants mythologiques des Slaves de l’Est. Biélorussie – Russie – Ukraine

Sadko Couverture2

ISBN: 979-1094441091

196 pages, format 15x21cm, 23€.

Édition numérique: 4,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

Les Slaves de l’Est (Biélorusses, Russes et Ukrainiens) possèdent une très riche tradition de chants épiques et religieux qui bien souvent renvoient à un fond très archaïque, un fond mythologique qui n’a de chrétien que l’apparence. Ces chants épiques russes (les bylines) et ukrainiens (les dumy), ces formules et incantations biélorusses, ne mentionnent évidemment pas d’antiques divinités slaves, mais ils font appels à des conceptions et des récits qui peuvent remonter à des temps bien antérieurs à la christianisation, et qui de ce fait peuvent être comparés à d’autres mythologies européennes. Textes traduits du russe, du biélorusse et de l’ukrainien. Viktoriya Lajoye est philologue, diplômée de l’Université de Voronej (Russie); Patrice Lajoye est docteur en Histoire des Religions comparées et travaille au CNRS.

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Ils en ont parlé:

« le travail de Viktoriya et Patrice Lajoye est un apport majeur pour notre domaine puisqu’il donne accès à des textes mythologiques peu connus des chercheurs non-slavisants. »

Guillaume Oudaer, Nouvelle Mythologie Comparée

Vsevolod Soloviev

Magnit! suivi de Kiménis

Soloviev couverture2

ISBN 979-10-94441-02-2

127 p., 15€

Édition numérique: 2,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

Célèbre à la fin du XIXe siècle pour ses romans historiques, Vsevolod Soloviev (1849-1903) se piqua d’occultisme à partir de 1884 et fréquenta les cercles théosophiques de Helena Blavatsky, qu’il fut par la suite un des premiers à dénoncer. Le résultat de cette quête du mystique fut deux romans, Les Mages et sa suite Le Grand Rose-Croix, mais aussi les deux nouvelles présentes dans ce volume, Magnit ! et Kiménis, écrites directement en français et publiées initialement en 1886. Deux nouvelles fantastiques au romantisme fort, désespéré, qu’il eut été dommage de laisser dormir dans les oubliettes de l’histoire littéraire.
Un bref témoignage d’expérience spirite vécue par Soloviev accompagne ces textes.

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Ils en ont parlé:

« Ces deux nouvelles n’ont pas vieilli et il est intéressant de signaler qu’elles ont été écrites en français. En effet, à cette époque, le français était une langue très utilisée par la noblesse russe. Un petit livre qui permet de passer un bon moment. »

David Claes, Galaxies (critique de la 1ère édition)

« Bref, deux textes fantastiques plutôt efficaces au romantisme fort. Un très bon moment passé avec un auteur malheureusement oublié semble-t-il. Un bon travail d’archéologie réalisé par Viktoriya et Patrice Lajoye pour cette publication. »

Naufragés Volontaires (critique de la 1ère édition)

Ferdynand Ossendowski

Le Brig « Le Terreur », suivi de La Lutte à venir

Ossendowski

ISBN 9791094441060

124 pages, format 15x21cm, 20,5€.

Édition numérique: 3,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

«Maintenant, l’humanité et moi allons nous livrer à un dernier combat, à mort. Le commandant du brig ‘le Terreur’ lui a déclaré la guerre !…» Il siffla brusquement, et les flambeaux s’éteignirent aussitôt. Seuls les voiles et les mâts du brig, qui ressemblait à un horrible et gigantesque fantôme, se profilaient dans les épaisses ténèbres. Des gens invisibles enlevèrent sans bruit les crocs qui le maintenait au «Griffon», et léger comme une vision, noir et sans feux, le voilier s’élança rapidement…
On le sait peu de nos jours, mais avant de fuir l’URSS naissante, Ferdynand Ossendowski fut un écrivain de langue russe, auteur d’une poignée de récits d’aventure et d’anticipation, dans la lignée de Jules Verne et d’Herbert George Wells. Démocrate, féministe et progressiste, il était l’ardent partisan d’une science au service de tous, et non d’une poignée d’aristocrates et de nantis.

Textes traduits par Viktoriya et Patrice Lajoye

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Ils en ont parlé:

« Grâce à la qualité de la narration, à la beauté de certaines images que l’auteur arrive à faire naître dans l’esprit du lecteur, la classique opposition du monde capitaliste au monde socialiste passe assez bien. Les deux récits posent les mêmes questions sur l’utilisation que l’on fait des découvertes scientifiques. Même s’il y a du Verne et du Wells, ces deux textes sont très personnels et ceci explique sans doute pourquoi ils n’ont pas vieilli. »

David Claes, Galaxies n°34.

Vladimir Odoievski

La Cité sans nom

Odoievski couverture3

Textes traduits par P. Douhaire, Hellé, G. Leroy, Viktoriya et Patrice Lajoye

ISBN: 979-10-94441-00-8

224 p., 23€

Édition numérique: 3,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

Entre mysticisme et science-fiction, moralisme et exotisme, le prince Vladimir Odoievski n’a jamais su se fixer. Visionnaire, il invoque une sylphide lors d’une expérience d’alchimie, rencontre un architecte du XVIIIe siècle lors d’un périple en Italie, invente l’internet et les blogs ainsi qu’un système mondial de climatisation en se projetant en 4338, décrit par le menu l’actuelle crise financière qui aurait déjà ravagé le pays de Benthamie, et imagine ce qui arriverait si une comète s’écrasait sur la Terre. Vladimir Odoievski (1803-1869) est un des maîtres de la littérature russe. Il est pourtant peu connu, tandis que son oeuvre est d’une importance majeure par l’influence qu’elle a eue sur le fantastique et la littérature de son pays. La Cité sans nom regroupe l’intégralité des nouvelles d’Odoievski traduites au XIXe siècle, accompagnées de quelques textes inédits dont pour la première fois en français L’An 4338.

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Ils en ont parlé:

« Il est difficile de ressortir l’un ou l’autre texte car chacun a mérite différent, mais on peut quand même citer La Cité sans nom qui donne son titre au recueil. »

David Claes, Galaxies (critique de la 1ère édition)

« Au final, Patrice Lajoye, qui traduit avec sa femme Viktoriya les textes inédits, réussit son pari: nous présenter un auteur d’importance dont peu pouvaient se targuer jusque-là de le connaître réellement, tant son rapport avec l’édition française fut épisodique. Auteur protéiforme, Vladimir Odoievski aborde ainsi avec un égal bonheur le fantastique et la science-fiction, et ceux qui en redemandent pourront toujours se mettre sous la dent quelques contes moraux ou exotiques, dont certains se révèlent savoureux. Un excellent ouvrage. »

Bruno Para, Bifrost (critique de la 1ère édition)

« A bien des égards, Vladimir Odoievski peut se comparer à Villiers de L’Isle-Adam, non seulement par ses origines aristocratiques et ses velléités progressistes, mais surtout par leurs oeuvres, axées avant tout sur le fantastique et les contes. »

Wagoo (critique de la 1ère édition)

« Voilà donc un recueil tout à fait passionnant, et on ne remerciera jamais assez Patrice Lajoye de nous avoir fait découvrir ce prince russe, inconnu en Occident, esprit novateur et brillant. »

Phénix Web (critique de la 1ère édition)

« En conclusion, je recommande cet ouvrage aux lecteurs fascinés par la littérature du XIXe siècle ainsi qu’aux curieux. De belles surprises se mêlent à des textes plus ordinaires, mais tous reflètent les mentalités d’une époque. Il serait regrettable que cette somme n’ait jamais vu le jour, mais elle ne s’adresse pas à tous les lecteurs de l’imaginaire, et cela il faut le savoir au préalable. »

Mythologica (critique de la 1ère édition)

Véra Krijanovskaia

Nahéma. Une légende de sorcellerie

Krijanovskaia couverture

ISBN: 979-10-94441-05-3

196 p., 20,50€

Édition numérique: 3,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

«  Lentement et sans être remarqué, Michel gravit le monticule, sauta sur le dolmen et, d’un seul coup de hache, fendit l’idole monstrueuse, qui roula à terre. À sa place apparut, dominant la plaine, la haute figure du moine vêtu de blanc et élevant d’une main, le cierge béni qui s’était allumé sans qu’il sut comment, de l’autre, sa croix. Un moment de mortel silence s’établit, puis des cris qui n’avaient rien d’humain s’élevèrent de toutes parts.

A mi-chemin entre le récit chrétien édifiant et grotesque, et le conte fantastique placé dans un Moyen Âge allemand fantasmé, Nahéma, roman de Véra Krijanovskaia écrit directement en français et publié en 1898 chez un éditeur ésotérique, nous montre le triste destin de Léonor, une pauvre femme injustement condamnée pour sorcellerie, qui n’aura de cesse de se venger, déclenchant une lutte entre sorciers et démons d’un côté, prêtres et moines soutenus de pouvoirs divins de l’autre. »

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Ils en ont parlé:

« Ce roman fantastique datant de la fin du XIXe siècle narre les aventures de Léonor, une pauvre jeune fille accusée, par jalousie, de sorcellerie qui, pour échapper au bûcher, passe un pacte avec le diable. Après une acclimatation difficile à sa nouvelle condition, la possibilité de se venger et de se rapprocher de l’être aimé perdu lui ouvre de nouveaux horizons. On se dirige alors vers une traditionnelle lutte entre le bien et le mal.
Même si l’histoire n’est pas très originale et la narration assez naïve, le récit est bien mené. Sans surprise, avec un air de ne pas y toucher, l’auteur parvient à emporter le lecteur.
 »

David Claes, Galaxies n°34.

Zinaïda Hippius

Le Sang divin

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Texte traduit par A. Dizerini.

ISBN 979-10-94441-01-5

94 p., 15 €

Édition numérique: 2,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

Une jeune roussalka, sans nom mais surtout sans âme ressent ce manque au plus profond de son être. Désireuse d’obtenir ce qui lui manque tant, sans pour autant qu’elle sache ce dont il s’agit, elle se lance dans une quête qui lui fera rencontrer une impitoyable sorcière et un vieil et généreux ermite. Une quête qui pourra l’amener à verser le Sang divin.
Zinaïda Hippius (1869-1945), fut l’un des principaux chefs de file du mouvement symboliste russe. Exilée en France suite à la Révolution d’octobre, elle est de ce fait, hélas, tombée quasiment dans l’oubli. Son oeuvre importante mérite cependant d’être redécouverte.

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Histoire – mythes – foklore

Cette collection se consacre aux essais et aux corpus touchant autant l’histoire que les traditions populaires de la Russie, de l’Ukraine et de la Biélorussie.

SF-russe-couv-netViktoriya et Patrice Lajoye, Du libéralisme au nationalisme.
La politique dans les littératures de l’imaginaire russes post-soviétiques

 

 

Le Dragon et le forgeron. Légendes héroïques de l’Ukraine

 

 

 

Mykhaïlo Dragomanov, La Littérature ukrainienne interdite par l’Empire russe

 

 

Dragomanov couverture1Mikhaïl Dragomanov et Lydia Dragomanova, Travaux sur le folklore slave, suivi de légendes chrétiennes de l’Ukraine

 

 

DumézilGeorges Dumézil, Contes et légendes des peuples du Caucase, tome 1

 

 

 

Sadko Couverture2Viktoriya et Patrice Lajoye, Sadko et autres chants mythologiques des Slaves de l’Est. Biélorussie – Russie – Ukraine

 

 

coverViktoriya et Patrice Lajoye, Ilya Mouromets. Contes en prose (numérique seulement)

 

 

Lajoye couverturePatrice Lajoye, Perun, dieu slave de l’orage. Archéologie – histoire – folklore

 

 

Fils de l'oragePatrice Lajoye, Fils de l’orage

 

 

 

CharmesPatrice Lajoye, Charmes et incantations. Biélorussie – Russie – Ukraine

 

 

 

coverVassili Levchine, Vassili Bogouslaevitch, suivi de Tchourilo Plenkovitch (numérique seulement)

 

 

Récit sur un ivrogne (à lire sur le blog)

Vassili Verechtchaguine, Guerres et voyages

 

 

 

Patrice Lajoye (ed.), New researches on the religion and mythology of the Pagan Slavs

 

 

Dikarev2Mitrofan Dikarev, Contes grivois et chansons paillardes de l’Ukraine

 

 

 

Patrice Lajoye and Stamatis Zochios (ed.), New researches on the religion and mythology of the Pagan Slavs – 2

 

 

Louis Leger, Travaux sur la mythologie et le folklore slaves

 

Mikhaïl Dragomanov et Lydia Dragomava

Travaux sur le folklore slave, suivi de Légendes chrétiennes de l’Ukraine

Dragomanov couverture

ISBN 979-10-94441-08-4, 180 p., 23€.

Édition numérique: 4,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

En exil à Genève de 1876 à 1889, Mikhaïl Dragomanov, auparavant professeur à l’Université de Kiev et grand spécialiste des traditions slaves, publie, avec l’aide de sa fille Lydia, une série de notes et articles en français, dans des revues comme La Tradition ou Mélusine, consacrées au folklore et à la mythologie. Ces publications — et notamment celles concernant le légendaire chrétien de l’Ukraine et de la Bulgarie — vont contribuer à faire alors connaître du public francophone un champ de recherches jusqu’ici largement ignoré.

Elles sont ici pour la première fois rassemblées et mises à jour, dans un recueil qui montre ainsi à quel point Dragomanov, dont l’érudition était immense, faisait partie des grands folkloristes du XIXe siècle.

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Alexandre Beliaev

L’Île des navires perdus

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Couverture réalisée avec l’aide des Ateliers du Virtuel

Texte traduit par Viktoriya et Patrice Lajoye. Édition accompagnée des illustrations originales de 1926.

ISBN: 979-10-94441-23-7

154 p., grand format, 17,5€

Édition numérique: 3,99€. Disponible sur Kobo, Amazon Kindle, Google Play et Lulu.com

Le bateau semblait rester immobile. Cependant, un faible courant l’emportait vers le cœur de la mer des Sargasses. Ils rencontraient de plus en plus souvent les vertiges verdis et à demi-pourris d’autres navires, qui apparaissaient tels des défunts, avec leurs membrures semblables à des côtes et leurs mâts brisés. Ces vestiges suivaient le bateau durant un moment, puis s’éloignaient lentement au loin.

Un détective et son prisonnier empruntent un transatlantique pour revenir aux USA quand une tempête pousse leur bateau au cœur de la mer des Sargasses, là où se trouve l’Île des Navires perdus…

Pionnier du roman d’aventure soviétique de l’entre-deux-guerres, Alexandre Beliaev (mort en 1942), offre ici un récit captivant.

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Classiques populaires

« Classiques populaires » a pour vocation de proposer des ouvrages dépaysants et dont l’objectif principal est de divertir. Ils vous emmèneront à Pompéi, dans la mer des Sargasses ou au coeur du Moyen Âge allemand.

Sémène Zemlak, L’Impur

 

 

 

Orlovets CouvertureP. Orlovets, Sherlock Holmes en Sibérie

 

 

 

Sherlock Holmes et L’Empire russe

 

 

 

Massalski-couverture-2-internetKonstantin Massalski, L’Icare russe

 

 

 

Avenarius couverture2Vassili Avenarius, Histoire extraordinaire d’un Pompéien ressuscité

 

 

 

Couv BaschmakoffNady Baschmakoff, Les Dieux puissants

 

 

 

Couv BeliaevAlexandre Beliaev, L’Île des navires perdus

 

 

 

L. Casine, Le Malheur (à lire sur le blog)

Krijanovskaia couvertureVéra Krijanovskaia, Nahéma. Une légende de sorcellerie

 

 

 

coverVéra Krijanovskaia, L’Urne (numérique seulement)

 

 

 

 

Ossendowski couvertureFerdynand Ossendowski, Le Brig « Le Terreur », suivi de La Lutte à venir

 

 

 

coverNikolaï Polevoï, Conte ancien sur le juge Chemiaka (numérique seulement)

 

 

Sergueï Solomine, La Fin de Sherlock Holmes (à lire sur le blog)

coverSergueï Solomine, Le Vampire (numérique seulement)

 

 

 

coverKonstantin Tsiolkovski, Sur la Lune. Un récit fantastique (numérique seulement)

 

 

InsectesLa Vie des insectes. Contes russes du XIXe siècle